Nouvelle recette de Peepaulette
- 100 gr de blancs d’œufs (ou 4 blancs d’œufs)
- 115 gr de beurre
- 40 gr de farine
- 150 gr de sucre
- 100 gr d’amandes en poudre
- 3 cuillères à soupe d’eau de fleurs d’oranger
- 1 pincée de sel
Nouvelle recette de Peepaulette
Nous allons consacrer la première page de notre herbier à une plante aromatique fort connue en cuisine et en phytothérapie. Il s’agit de l’ANETH, également appelé « fenouil bâtard » ou « faux anis » …Lire la suite
Peepaulzine a choisi de s’adapter aux nuances de la saison. Notre petit webzine a donc changé de look et nous espérons qu’il vous séduira autant qu’il nous a séduit. En attendant de nouveaux articles, les Peepaul rédacteurs vous souhaitent une bonne semaine !
Confidences de grisounet tristounet…
Tu viens d’acheter une belle botte de radis. Tout en chantonnant, tu en nettoies les jolies racines roses et tu t’apprêtes à en jeter les feuilles. Stop ! Ne fais pas ça ! Tu vas les utiliser pour en concocter un délicieux potage. Pour cela, il te faut :
En cette période où l’horreur succède à l’horreur, l’arme des gens de bonne volonté, c’est la culture, la connaissance, le respect d’autrui. Il est urgent de répéter que l’Intelligence du cœur reste le socle inébranlable de la liberté, de l’égalité et de la fraternité…
Des personnages sans nom : troisième partie
Pour cela, il te faut :
Entrez donc dans l’univers carrément absurde de Féfée… Il suffit de s’installer dans le salon de lecture et de lire la nouvelle qui lui est consacrée !
Ce mois-ci, nous proposons aux débutantes de s’épater elles-mêmes en réalisant un joli modèle de napperon au point de croix. Elles trouveront les explications qui leur sont nécessaires dans la rubrique Dix doigts pour créer !
Afin de poursuivre notre enquête très spéciale, abordons la lecture du second chapitre de l’Exode. Exode chapitres 1 et 2
Vous avez lu ? Alors, vous pouvez constater qu’il relate une histoire qui peut assurément servir de base à l’écriture d’un scénario. Résumons : un couple conçoit un enfant mâle que la mère cache durant trois lunes afin de le soustraire à l’extermination décrétée par le pharaon sans nom. Ne pouvant plus le dérober à la vue des sbires du roi, elle fait un choix remarquable. Inspirée par son courageux amour maternel, elle confie l’enfant aux eaux du fleuve. Celui-là même qui aurait dû l’anéantir, conformément aux noirs desseins du pharaon. Mais, grâce aux propriétés des eaux, la boîte en roseaux flotte à la surface du fleuve qui sait également être bienveillant …
Bien. Ce nourrisson a une sœur, probablement son aînée, qui s’inquiète avec amour de son avenir. Tout en se tenant éloignée, elle surveille sa migration vers un destin inconnu. Elle n’hésite pas à aborder la fille de pharaon, descendue ce jour là de son palais pour se laver dans le fleuve. Elle a vu la caisse en roseaux qui flottait et elle a entendu l’enfant pleurer. Elle s’en émeut et en déduit qu’il s’agit d’un petit hébreu que sa mère a confié au fleuve. Rassurée par le témoignage compatissant de la fille de pharaon, la sœur lui propose une nourrice parmi les femmes du peuple de l’enfant. La princesse accepte et la fillette ou la jeune fille hébreu court chercher la mère biologique pour l’allaiter, moyennant un salaire.
Et, le récit saute des étapes ! On le regrette. Car on aurait bien aimé trouver quelques lignes relatant la relation établie entre l’enfant et sa mère biologique. Décidément, la narration est assez pauvre en subtilités romanesques. Tant pis ! Donc, le temps a passé et à l’âge du sevrage, l’enfant va vers la fille de pharaon. Là, on est un peu déconcerté… Quoi ? Elle n’a pas pris soin de lui durant tout ce temps ? Les scénaristes suggèrent une justification : à la cour de pharaon les princesses sont séparées de leurs nourrissons. Question de protocole…
Possible ! Enfin, elle le reconnaît comme un fils et l’adopte en le nommant : Moïse. Ce qui signifie qu’il n’avait pas de nom jusqu’à présent. Puis, elle explique les raisons qui justifient le nom donné à cet enfant : « parce que d’entre les eaux, je l’ai sauvé. » Un peu surpris, le lecteur non hébraïsant fronce les sourcils et s’interroge sur la relation existant entre ce nom et les arguments de la princesse. S’il est un peu curieux, il ira chercher la réponse en consultant Wikipédia avant d’en apprendre davantage au fil des articles de notre rubrique !
Soyons sérieux. Pourquoi le récit ne fait aucune allusion au sort de la nourrice, véritable mère de l’enfant, ni à celui de sa sœur « aînée » ?
C’est donc le moment de faire le point. Avant de poursuivre la lecture du chapitre, examinons les singularités de cette partie de la narration :
«Viens et vois ! Il y a un vêtement visible par tous, et les insensés, dès qu’ils ont vu quelqu’un qui leur semble avoir belle allure, ne regardent pas plus loin. En effet, ils confondent l’habit avec le corps et donnent autant d’importance à ce dernier qu’à l’âme. De même la Torah (Enseignements) possède un corps et les mots de cette Torah s’appellent « corps de la Torah ». Ce corps est revêtu d’un habit que sont les simples histoires ; les insensés de par le monde ne regardent que ce vêtement, que sont les histoires…»