Depuis le début de nos enquêtes très spéciales, nous avons compris l’intérêt du questionnement pour éclairer les sens discrets des récits du Livre. Et, après lecture du second chapitre, nous constatons que ce dernier, comme le précédent, abonde en termes et détails souvent déroutants. Par conséquent, dans quelle direction allons-nous orienter notre nouvelle enquête ?
Commençons par compter le nombre de versets du chapitre. Nous en relevons 25, ce qui nous donne l’opportunité de le décomposer en cinq parties (5×5 = 25 !). Parfait ! Nous allons donc tenter de récolter aujourd’hui les enseignements des cinq premiers versets. Lire la suite…
La paix dans le monde passe par la paix des individus. Celui qui est naturellement serein, en paix avec lui-même sera d’un caractère ouvert à ses semblables. C’est là que repose le fondement même d’une paix universelle. Le XIV Dalaï-Lama
Et voilà !
Les cycles de notre planète ont déroulé les chemins bien trop cahoteux et tragiques de l’année 2016… Symboliquement, le changement d’année ressemble à une porte qui se ferme parce qu’une autre va s’ouvrir et qu’elle est censée promettre de meilleures perspectives. C’est du moins ce que nous allons nous souhaiter en échangeant des vœux pleins d’espoir dont celui de voir enfin fleurir la semence de paix étouffée par les aberrations humaines. Celles des autres, naturellement, pas les nôtres… Parce que nous oublions un peu vite que l’origine des discordes se trouve dans le côté obscur de notre cœur. Là où croissent les semences de haine disséminées par les émotions, par les ambitions, par les manques, par l’orgueil, par tous ces intimes ennemis qui empoisonnent notre raison et nos relations à l’autre. Et toujours la même question : que voulons-nous dans l’avenir ? Avoir, ou être ? A nous de faire les meilleurs choix…
Alors, souhaitons-nous mutuellement pour la nouvelle année, d’avoir le courage de regarder et de régler les intimes conflits qui nous empêchent de connaître le plaisir d’être, le plaisir de la sérénité, le plaisir du partage et de la joie. Car, même si cette évolution personnelle n’est qu’une minuscule pierre apportée à l’évolution universelle, elle n’en est pas moins fondamentale. Pour vous, pour nous tous, pour ceux à venir…
C’est le 2 octobre 1890 que naquit à New York le comédien Groucho Marx. De son vrai nom Julius Henry MARX, il révéla très tôt ses talents artistiques aussi bien en tant que comédien, que chanteur et que danseur. Il tourna 23 films dont 16 avec ses non moins talentueux frères Chico et Harpo. Ils donnèrent à leur trio burlesque et «déjanté» le nom de Marx Brothers.Toutefois, leur carrière s’acheva dans les années cinquante.
Ainsi, Peepaulzine a choisi des personnages tout aussi burlesques qui transmettent à leur manière quelques adaptations des interprétations de Groucho Marx au sujet des superstitions qui résistent encore de nos jours au bon sens le plus élémentaire !
Ben oui ! Plutôt que d’écouter les z’aigres et délirantes palabres des politiques, les Peepauls de Peepaulzine ont envie de bonne humeur et de musique. Alors ils ont décidé de soutenir les débuts de toute l’équipe de la MAXradio et vous invitent à aller faire un tour sur www.lamaxradio.com !
Bonjour à tous ! Aujourd’hui, nous vous proposons d’entrer dans l’automne avec une délicieuse recette à base de potimarron. C’est un excellent légume qu’on peut utiliser avec sa peau car elle donne saveur et belle couleur à ce velouté. Alors, si ça vous tente, à vos fourneaux ! → lire la suite
Nous avons noté que le cinquième jour est consacré à la création d’espèces vivantes, singulièrement indéfinies, mais qui sont destinées à occuper les eaux, l’air ou à se mouvoir sur la terre. Une question s’impose : puisque ces espèces sont encore à l’état de projet, est-ce qu’Elohim a prévu pour elles un attribut qui leur donnerait la faculté d’exister ? Lire la suite…
Pour toutes celles et tous ceux qui aiment bien choisir des produits sains pour nourrir leur famille ou leurs invités, notre Peepaulette (spécialiste des bons trucs) nous communique une recette de pain, simple et savoureuse… → Lire la suite
Avec l’arrivée de l’automne, tout un petit monde sournois de microbes et autres germes pathogènes attendent le moment propice pour se manifester… Il n’est alors peut-être pas idiot de se souvenir des vertus de l’eucalyptus… → lire la suite
Bonjour à tous ! Aujourd’hui, c’est le Peepaul Piérick qui partage avec nous les paroles de Houei Neng (ou : Huinéng). C’est un penseur né à Canton en Chine en 638 et décédé en 713. Il appartient à la Tradition Chan, c’est-à-dire au Bouddhisme Mahanaya et il serait l’auteur du Sutra de l’Estrade.
« Sérénité et sagesse ne sont à la base qu’une seule chose et non deux choses. La sérénité est la base de la sagesse. La sagesse est fonction de la sérénité. Quand la vertu se tient dans la bouche et non dans l’esprit, la sérénité et la sagesse sont inutiles et ne peuvent d’aucune façon être identiques l’une à l’autre. Quand vous êtes engagé dans la réalisation du soi, ne vous laissez plus entraîner dans des discussions. Si vous débattez sur ce qui précède et ce qui va suivre, vous vous conduisez comme une personne aveuglée par l’illusion, vous n’êtes pas libérée du gain et de la perte, vous aggravez votre égotisme… A quoi pourrions-nous comparer la sérénité et la sagesse ? A la lumière d’une flamme. Avec une flamme vous avez de la lumière et sans flamme, il fera nuit. Car la flamme est la base de la lumière et la lumière l’usage de la flamme. La doctrine de la sérénité et de la sagesse est tout a fait semblable. »
En consultant une vieille encyclopédie, je suis tombée sur une illustration des tables de ce bon Pythagore. Enfin… façon de parler, parce que j’étais un peu en froid avec lui durant ma jeunesse.→ lire la suite